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Modalités d’Accueil à compter du 11 mai 2020

  • Désinfection des surfaces entre séances et aération de la pièce (minimum 15 min)

  • Pas d’attente entre les client

  • Distance de sécurité minimale d’un mètre

  • Gel hydroalcoolique à disposition pour l’entrée et sortie du cabinet (et plus si nécessaire)

  • Port du masque permanent pour moi et sur les temps d’accueil et de sortie du cabinet pour les clients

 

MERCI D’APPORTER VOTRE MASQUE

Pour votre confort, vous pourrez le retirer le temps de la pratique (distance 1 mètre minimum)

 

   Les séances en groupe seront limitées à 2 personnes afin d’assurer le respect des distances

 

   Le prêt de couvertures et coussin ne sera plus assuré : apportez les vôtres si vous souhaitez

 

   Les RDV en visio via Skype ou Whatsapp restent possibles sur demande

 

VOTRE SECURITE EST MA PRIORITE TOUT AUTANT QUE VOTRE BIEN ÊTRE

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DE LA PANDEMIE A LA PEUR DE L'AUTRE 

Nous l’avons tous éprouvé, LA PEUR sous toutes ses formes s’est installée : peur de la maladie, peur pour nous, pour nos proches, pour notre travail …….


La peur apparaît lorsque nous sommes confrontés à l’inconnu.
C’est une émotion d’anticipation qui vient en réponse à notre besoin primaire de sécurité (tel que décrit par Maslow dans sa pyramide des besoins).


Nous avons peur car nous ne savons pas ce qui va se passer et notre esprit a naturellement tendance à imaginer des scénarios négatifs.
La pandémie s’accompagne alors d’un climat anxiogène, propice à la méfiance et à la suspicion.


La peur peut prendre différentes formes et avoir différentes intensités : on peut être terrifié, paniqué, apeuré, craintif, inquiet, nerveux, angoissé, anxieux, méfiant …..


La peur d’être malade nous amène à craindre l’autre, à le considérer comme un intrus, porteur éventuel de virus, ou à l’inverse nous craignons que l’autre nous soupçonne d’être malade.
Cela conduit à un repli sur soi pouvant aller jusqu’à l’isolement.
On se cache : certains ne sortent plus tandis que d’autres sortent masqués.


Un second besoin fondamental est alors en danger : le besoin d’appartenance et de lien relationnel.


L’être humain est un être social qui a besoin de contacts affectifs et émotionnels avec ses congénères.
Sans cela notre être se meurt peu à peu, développant des troubles divers de types émotionnels, psychologiques et /ou physiques.
Alors comment sortir de ce cercle vicieux ?


Tout d’abord en prenant conscience de la situation (observer, accueillir ce qui se passe, accepter de ressentir nos émotions…) puis en nous reliant à nos ressources et à ces formidables capacités que nous possédons en tant qu’humain (espérer, créer, apprendre, évoluer, se dépasser …. )


Individuellement cela signifie :

  • Prendre du recul : limiter la surexposition aux médias anxiogènes, recouper et vérifier les sources d’informations, ne pas céder à la rumeur sociale qui alimente la peur

  • Reconnaître et gérer ses émotions : pratiquer par exemple la sophrologie, respirer en cohérence cardiaque, méditer, mais aussi peindre, jardiner, faire du sport …

  • Garder un regard compatissant et bienveillant envers soi et les autres : sourire (même et surtout derrière le masque), avoir des mots et des gestes positifs

Ne pas hésiter solliciter l’avis de son médecin ou psychiatre .
Se faire aider par un professionnel : sophrologue, coach psychologue …..

Nathalie Echard

Sophrologue

Pandémie mondiale, confinement puis déconfinement à venir, nous traversons actuellement période inédite génératrice de bouleversements d’incertitudes et de peurs.

Cette situation nous oblige tous à mobiliser nos ressources physiques, mentales et émotionnelles pour nous adapter à un environnement nouveau.

Le processus de stress est alors activé.

Le stress peu se définir comme un signal d’alerte qui permet à notre organisme de réagir face à un danger perçu (qu’il soit réel ou imaginaire) afin de protéger notre vie.

Un enchainement de messages biochimiques s’enclenche alors dans notre corps, le plus connu étant la libération d’adrénaline.

Le stress est un mécanisme naturel de survie et de protection : il permet à notre corps de maintenir ou retrouver l’équilibre quelque soit notre environnement.

Il apparait donc normal que nous en ressentions les effets et qu’il y ait des fluctuations en fonction des jours et même des heures.

Pourtant dans certains cas notre système nerveux peut s’emballer et nos réponses au stress être excessives.

Nous nous trouvons alors face à des sensations physiques, émotionnelles et mentales qui peuvent être parfois très désagréables et qu’il faut apprendre à gérer.

La situation actuelle est vécue différemment par chacun d’entre nous. Certains vivront le confinement avec plus ou moins de facilité tandis que pour d’autres l’expérience sera beaucoup plus compliquée voir très difficile.

Aussi voit on (re)surgir, chez certaines personnes des troubles divers tels que : anxiété, troubles du sommeil, troubles émotionnels, troubles de l’humeurs, peurs diverses (peur du manque, peur de l’avenir, peur de tomber malade, peur de sortir de chez soi …….) , troubles comportementaux (boulimie,  addictions…..), angoisse parfois menant parfois à des attaques de panique .

Les impacts sur notre quotidien, notre qualité de vie et notre quotidien peuvent devenir, plus ou moins rapidement, dévastateurs.

 

Alors comment faire pour réguler les effets négatifs et gérer au mieux cette situation difficile ?

 

Il convient tout d’abord de réduire, voir d’éliminer, tout ce qui accroit notre stress : limiter notre exposition aux informations (par ex se désactiver des réseaux sociaux, désactiver nos alertes, choisir de ne s’informer qu’une fois par jour…), dans nos contacts sociaux limiter vos stopper les conversations directes en lien avec la situation (l’humour peut être parfois utilisé pour mettre un espace en soi et la situation).

 

Répondre à nos besoins fondamentaux est indispensable :

 

  1. Besoins physiologiques : manger, boire, dormir, bouger.

Penser à garder le rythme quotidien avec des repères : heures de lever/coucher réguliers, heures des repas, temps d’activités mentales et physique. Garder le plus possible des repères fixes.

  1. Besoins de sécurité :  penser à se cocooner, pratiquer des activités que l’on aime et qui nous font plaisir, pratiquer quotidiennement des exercices de sophrologie, relaxation ou méditation, se concentrer sur des projets valorisants et se fixer des objectifs (recettes à tester, petits travaux, jardinage …..)

  2. Besoins sociaux : téléphoner à un ami, la famille, prendre des nouvelles des proches, prendre des nouvelles d’un voisin (même si on le connait peu), rire et sourire le plus souvent possible (un sourire même forcé va agir sur le stress)

 

Si cela vous semble encore difficile ne pas hésiter à consulter son médecin et se faire aider par un professionnel (psychologue, sophrologue …..)

 

La sophrologie s’inscrit naturellement comme une réponse à cette période particulière de notre vie où nos habitudes, nos repères, nos émotions, nos valeurs, notre place d’homme ou de femme dans la société, notre existence et parfois même le sens de notre vie se trouvent bousculées.

 

La pratique de la sophrologie nous relie à nous même de plusieurs façons :

  • Corporellement : nous reliant à la vie et au rythme de notre respiration, à la présence de notre corps, les effets physiologiques du stress (tensions, palpitations, estomac noué ……) s’estompent, laissant place à un espace où le corps peut se poser, se reposer, se ressourcer.

  • Mentalement : en prenant conscience de nos pensées, en orientant notre mental vers ce qui va bien (par exemple : petits et grands instants agréables de ma journée), le mental se pose lui aussi et nous laisse la place pour aborder notre quotidien avec de nouvelles perspectives.

  • Equilibre cors/esprit/émotions : un espace d’équilibre se crée nous permettant de prendre conscience de nos ressources et de nos capacités. Par l’action de l’entrainement nos potentiels vont croitre et prendre sens dans notre quotidien.

  • Déploiement de nos valeurs : en prendre conscience et les faire croître va prendre sens dans nos rapports aux autres et notre vie

  • Déploiement de notre existence : répondant à la question de l’être unique que nous sommes dans notre histoire, dans notre univers, notre développement et à la façon dont nous avançons dans notre vie en lien avec tous les points précédemment abordés.

 

En séance individuelle l’accompagnement par un sophrologue professionnel permet, en fonction des besoins et demandes de la personne, d’apprendre à traverser les changements, les difficultés personnelles, les deuils éventuels afin de retrouver une nouvelle quotidienneté et envisager un avenir plus serein.

 

Nathalie Echard

Sophrologue

Extrait  reportage réalisé par Justine Lambert  (journaliste étudiante) - apparition de problèmes psychologique (anxiété, boulimie, dépression...) dans le contexte du confinement

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